01 83 62 99 51
Appel non surtaxé
Tarifs
TARIFS
Commander un ERP ERP 
Connexion Inscription

CONN.

INSCR

Radon : origines, dangers et méthodes de mesure

Radon : origines, dangers et méthodes de mesure
Radon : origines, dangers et méthodes de mesure
Gaz naturel issu du sous-sol, le radon peut présenter des dangers réels. Découvrez ses origines, ses effets et les méthodes fiables pour le mesurer.
France ERP intervient sur toute la France pour editer vos états des risques et pollutions.
Contactez-nous 01 83 62 99 51 ou Commandez un ERP

Gaz radioactif naturel et incolore, le radon s’infiltre silencieusement dans nos habitations et bâtiments professionnels, constituant un enjeu majeur de santé publique. Issu de la désintégration de l’uranium dans les sols, ce gaz noble, chimiquement inerte, devient particulièrement dangereux lorsqu’il s’accumule dans les espaces mal ventilés. Classé cancérogène pulmonaire par l’OMS et évoqué comme un risque dans l’État des risques et pollutions (ERP), le radon expose à un risque élevé de cancer du poumon, surtout en synergie avec le tabac. Face à cette menace invisible, comment évaluer et maîtriser l’exposition ? Dans cet article, nous commencerons par définir le radon, ses origines et ses propriétés physiques. Nous détaillerons ensuite les effets sur la santé, les seuils de référence et l’influence de la géologie et des matériaux de construction sur sa concentration. Enfin, nous présenterons les méthodes de mesure, les techniques de prévention et d’étanchéité, ainsi que le cadre réglementaire et les aides financières disponibles pour réduire efficacement le risque radon. 

Qu’est-ce que le radon ?

Le radon est un gaz radioactif naturel qui suscite de nombreuses préoccupations en raison de son impact potentiel sur la santé humaine et de sa présence dans nos environnements quotidiens. Comprendre son origine et ses propriétés est fondamental pour aborder les méthodes de mesure et de dépistage appropriées.

Origine et désintégration

Le radon provient principalement de la désintégration de l'uranium présent naturellement dans la croûte terrestre. Ce processus génère plusieurs isotopes, mais c'est le radon-222 qui est le plus courant et le plus préoccupant en matière de santé publique. Ce gaz, incolore et inodore, s'infiltre à travers le sol où il peut s'accumuler dans les bâtiments, notamment dans les sous-sols et les vides sanitaires. La désintégration du radon produit des particules alpha, qui, lorsqu'elles sont inhalées, peuvent endommager les cellules pulmonaires du corps humain. 

Propriétés physiques et chimiques

En termes de propriétés, le radon est un gaz noble, ce qui signifie qu'il est chimiquement inerte et ne réagit pas facilement avec d'autres substances. Cependant, sa nature radioactive en fait un élément à surveiller de près. Sa densité est environ huit fois supérieure à celle de l'air, ce qui le rend susceptible de s'accumuler dans les zones basses des bâtiments. En raison de sa demi-vie de 3,8 jours, le radon peut persister suffisamment longtemps pour poser des problèmes de santé, surtout dans les espaces mal ventilés.


Pourquoi le radon est-il dangereux ?

Le radon est reconnu comme un cancérogène pulmonaire majeur, classé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) parmi les principaux risques environnementaux pour la santé humaine. La compréhension de ses effets et de son interaction avec d'autres facteurs de risque est cruciale pour évaluer les dangers potentiels

Effets sur la santé et statistiques

Les particules alpha émises par le radon lors de sa désintégration peuvent causer des dommages significatifs aux tissus pulmonaires. Selon l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN), le radon est responsable d'une proportion non négligeable de cas de cancers du poumon, notamment chez les non-fumeurs. Les statistiques montrent que l'exposition prolongée à des niveaux élevés de radon peut augmenter de manière significative le risque de développer un cancer du poumon.

Interaction avec le tabagisme

Le risque lié au radon est exacerbé par le tabagisme. Les fumeurs exposés au radon ont un risque plus élevé de développer des cancers pulmonaires que les non-fumeurs. Cette interaction entre le radon et les toxines du tabac crée une synergie dangereuse qui augmente considérablement la probabilité de maladies graves.


Où trouve-t-on du radon ?

Le radon est présent dans de nombreux environnements, mais certains facteurs géologiques et architecturaux peuvent influencer sa concentration dans les bâtiments. Mieux comprendre où et comment le radon s'introduit est essentiel pour mieux prévenir son accumulation.

Radon dans les sols et la géologie

Avant toute chose, le radon est produit de la désintégration de l'uranium dans les sols. Les régions avec des concentrations élevées d'uranium, comme certaines formations granitiques, sont plus susceptibles de libérer du radon.

La géologie locale joue un rôle déterminant dans la concentration de radon. Les sols perméables, comme ceux composés de sable ou de gravier, facilitent le déplacement du radon vers la surface où il peut s'infiltrer dans les bâtiments.


Radon dans les matériaux de construction

Les matériaux de construction peuvent également être une source de radon. Certains matériaux, notamment ceux d'origine naturelle comme la pierre ou certains bétons, peuvent contenir de petites quantités d'uranium qui se désintègrent en radon. Bien que généralement en quantités moindres que celles provenant du sol, ces sources ne sont pas à négliger, surtout dans les bâtiments anciens où les matériaux naturels étaient prédominants.</p>


Radon dans l’eau et l’air extérieur

Bien que moins fréquent, le radon peut également être présent dans l'eau, notamment dans les eaux souterraines. Lorsqu'une eau riche en radon est utilisée à des fins domestiques, comme la douche ou la cuisson, elle peut libérer du radon dans l'air intérieur. À l'extérieur, le radon se dilue rapidement dans l'air, ce qui réduit considérablement son impact, mais son potentiel d'accumulation à l'intérieur en fait un risque significatif.


Comment mesurer le radon ?

Le dépistage du radon dans les bâtiments repose sur des techniques de mesure précises pour évaluer le niveau d'exposition et identifier les actions correctives nécessaires. La diversité des méthodes et des technologies disponibles permet de choisir l'approche la plus adaptée à chaque situation.

Détecteurs passifs (DSTN)

Les détecteurs passifs, tels que le disque de suie thermoluminescent neutronique (DSTN), sont couramment utilisés pour mesurer le radon. Ces dispositifs, qui ne nécessitent pas de source d'énergie externe, capturent les particules radioactives sur une période prolongée, minimum de 2 mois, allant généralement de 2 à 12 mois. Ils fournissent une estimation moyenne de la concentration en radon, ce qui est essentiel pour évaluer l'exposition à long terme.


Mesures intégrées, ponctuelles et continues

Aujourd’hui, 3 types de mesures peuvent être envisagées :

  • Les mesures intégrées s'effectuent sur une période prolongée, souvent plusieurs mois, pour obtenir une moyenne représentative de la concentration en radon dans un bâtiment ;
  • Les mesures ponctuelles, souvent réalisées avec des dosimètres électroniques, fournissent des résultats immédiats mais peuvent ne pas refléter les variations saisonnières ;
  • Les dispositifs de mesure continue offrent une surveillance en temps réel, ce qui permet d'analyser les variations quotidiennes et saisonnières du radon dans un espace donné.


Bonnes pratiques de pose et de lecture

Pour garantir la fiabilité des mesures, il est crucial de suivre certaines bonnes pratiques. Les détecteurs doivent être placés dans des zones représentatives de l'occupation humaine, loin des fenêtres, des portes et des zones à fort débit d'air. De plus, l'interprétation des résultats doit tenir compte des variations saisonnières et des spécificités structurelles du bâtiment.


Seuils et niveaux de référence

La compréhension des seuils de concentration en radon et des niveaux de référence est indispensable pour évaluer les risques et définir les actions à entreprendre pour protéger la santé publique. Ces valeurs constituent un cadre pour l'intervention et la prévention.

Valeurs 100 Bq/m3 et 300 Bq/m3

Les niveaux de référence pour le radon varient d'un pays à l'autre, mais en Europe, deux valeurs clés sont souvent citées : 100 Bq/m3 et 300 Bq/m3. Le seuil de 100 Bq/m3 est recommandé par l'OMS comme niveau de référence pour protéger la santé publique, tandis que 300 Bq/m3 est souvent considéré comme la limite à partir de laquelle des actions correctives doivent être mises en place pour réduire l'exposition.

Exigences en France et en Europe

En France, la réglementation sur le radon repose sur les directives de l'Euratom et est intégrée dans le Code de la santé publique et le Code du travail. L'objectif est de maintenir l'exposition au radon en dessous de 300 Bq/m3 dans les espaces de vie et de travail. Les diagnostics sont obligatoires dans certaines zones géographiques, classées en fonction du potentiel radon, et des mesures doivent être prises lorsque les niveaux dépassent les seuils réglementaires.


Principes de protection des bâtiments

La protection contre le radon dans les bâtiments repose sur plusieurs principes fondamentaux qui visent à empêcher son accumulation et à protéger les occupants des effets néfastes de ce gaz. Les mesures mises en place varient en fonction de la configuration et de la localisation des bâtiments.

Étanchéité des surfaces en contact avec le sol

Pour limiter l'infiltration du radon, l'étanchéité des surfaces en contact avec le sol est une stratégie clé. Cela inclut l'utilisation de membranes d'étanchéité, le scellement des fissures et des joints, ainsi que le renforcement des fondations pour empêcher le passage du radon à travers les matériaux constructifs. Ces actions visent à créer une barrière physique qui réduit la perméabilité du bâtiment au gaz.

Ventilation naturelle et mécanique

La ventilation joue un rôle crucial dans la réduction des concentrations de radon. La ventilation naturelle, par l'ouverture régulière des fenêtres, permet de diluer le radon accumulé. Cependant, dans les régions où les niveaux de radon sont élevés, une ventilation mécanique contrôlée peut être nécessaire. Les systèmes de ventilation à double flux, par exemple, assurent un renouvellement constant de l'air intérieur tout en minimisant les pertes énergétiques.

Dépressurisation du sol sous dallage

La dépressurisation du sol sous dallage est une technique efficace pour réduire les niveaux de radon. Elle consiste à créer une pression négative sous la dalle du bâtiment, empêchant ainsi le radon de s'infiltrer. Cela peut être réalisé par l'installation de tuyaux de ventilation qui extraient l'air sous la dalle et le rejettent à l'extérieur. Cette méthode est particulièrement efficace dans les nouvelles constructions où des systèmes peuvent être intégrés dès la phase de conception.


Actions correctives et préventives

Les actions pour gérer le radon dans les bâtiments se divisent en mesures correctives pour les structures existantes et en solutions préventives pour les nouvelles constructions. L'objectif est de réduire l'exposition au radon à des niveaux acceptables pour protéger les occupants.

Mesures simples à mettre en œuvre en habitat existant

Dans les bâtiments existants, certaines mesures simples peuvent être mises en œuvre pour réduire les niveaux de radon. Cela inclut : 

  • l'amélioration de la ventilation, 
  • le scellement des fissures et des ouvertures, 
  • ainsi que l'installation de systèmes de dépressurisation. 

Ces actions, bien que basiques, peuvent avoir un impact significatif sur la concentration de radon à l'intérieur des habitations.

Solutions techniques pour bâtiments neufs

Pour les nouvelles constructions, intégrer des solutions techniques dès la phase de conception est essentiel pour prévenir l'accumulation de radon. Cela comprend : 

  • l'installation de barrières anti-radon, 
  • la mise en place de systèmes de ventilation adaptés 
  • et enfin, l'utilisation de techniques de dépressurisation. 

Ces mesures permettent de limiter efficacement l'infiltration du radon dans les nouveaux bâtiments.

Suivi et vérifications périodiques

Le suivi régulier et les vérifications périodiques sont indispensables pour s'assurer que les mesures mises en place restent efficaces. Cela inclut : 

  • des campagnes de mesure régulières pour évaluer les niveaux de radon 
  • l'ajustement des systèmes de ventilation ou de dépressurisation en fonction des résultats obtenus.


Cadre réglementaire et obligations

Le cadre réglementaire encadrant la gestion du radon est strict et vise à protéger la santé publique. Les obligations varient en fonction des types de bâtiments et des niveaux d'exposition, mais elles reposent toutes sur des textes légaux clairement définis.

Directive Euratom 2013/59

La directive Euratom 2013/59 fixe les normes de base relatives à la protection contre les dangers résultant de l'exposition aux rayonnements ionisants, y compris le radon. Elle impose aux États membres de l'Union européenne de mettre en place des plans d'action pour gérer les risques liés au radon dans les bâtiments, tant résidentiels que professionnels.

Code de la santé publique et code du travail

En France, le Code de la santé publique et le Code du travail intègrent les exigences relatives à la concentration en radon dans les espaces clos. Les employeurs doivent évaluer le risque d'exposition au radon dans les lieux de travail et prendre les mesures nécessaires pour le réduire. Des diagnostics sont également requis lors de la vente de biens immobiliers situés dans des zones à potentiel radon élevé.

Information acquéreur-locataire et diagnostics

Les acquéreurs et les locataires doivent être informés des niveaux de radon dans les bâtiments qu'ils occupent ou qu'ils envisagent d'acquérir. Les diagnostics du radon (via l’Etat des Risques et Pollutions - ERP - proposé par France ERP) sont obligatoires dans certaines zones et doivent être réalisés par des professionnels qualifiés. Ces informations permettent aux occupants de prendre des décisions éclairées concernant leur santé et leur sécurité.


Aides financières et modèles de responsabilité

Des aides financières sont disponibles pour aider à la mise en œuvre de mesures de remédiation du radon. Comprendre les modèles de responsabilité est également crucial pour les propriétaires et les professionnels impliqués dans la construction et la gestion des bâtiments.

Subventions de l’ANAH, de MaPrimeRénov’ et des collectivités

Des subventions et aides, telles que celles offertes par l'ANAH et MaPrimeRénov’, sont disponibles pour financer les travaux de réduction du radon. Les collectivités locales peuvent également proposer des aides supplémentaires pour encourager les propriétaires à prendre des mesures correctives efficaces.

Assurance et obligations du constructeur

Les constructeurs ont la responsabilité de s'assurer que les nouvelles constructions respectent les normes de protection contre le radon. Les assurances peuvent couvrir certains aspects des travaux de remédiation, mais il est crucial de comprendre les obligations légales pour éviter tout litige potentiel.

Rôle des professionnels : CRP, diagnostiqueurs, bureaux d’études

Les Conseillers en Radioprotection (CRP), les diagnostiqueurs et les bureaux d'études jouent un rôle essentiel dans l'évaluation et la gestion du radon. Leur expertise permet de réaliser des diagnostics précis et de recommander des solutions adaptées pour réduire les niveaux d'exposition dans les bâtiments.


Le radon représente un défi majeur pour la santé publique et la sécurité dans les bâtiments. Grâce à une compréhension approfondie de ses origines, de ses effets et des méthodes de mesure, il est possible de mettre en place des stratégies efficaces pour réduire son impact. Les réglementations en vigueur, les solutions techniques disponibles et les aides financières offertes constituent un cadre solide pour gérer ce risque de manière proactive. Mesurer le radon dans son logement et solliciter l'aide de professionnels qualifiés est un pas décisif vers une meilleure protection de la santé et du bien-être des occupants.

Articles suggérés

Voir tous les articles
Diagnostics DPE et ERP : comment bien préparer sa mise en vente ou en location ? Les diagnostics DPE et ERP sont deux diagnostics immobiliers incontournables à préparer dès la mise en vente ou location.
L'importance des diagnostics immobiliers dès l'annonce immobilière DPE, ERP… Pourquoi les diagnostics immobiliers sont-ils si importants à communiquer dès l’annonce immobilière ?
Comment l'impact de l'ERP sur la valeur immobilière peut transformer votre investissement immobilier Dans le monde de l'immobilier, le diagnostic ERP, ou État des Risques et Pollutions, joue un rôle déterminant. Un bon diagnostic ne se contente pas de vérifier l'état d'un bien, mais il assure aussi sa sécurité et sa pérennité. Aujourd'hui, avec l'évolution constante des réglementations et l'intégration des nouvelles technologies, comprendre l'impact de l'ERP sur la valeur immobilière est plus pertinent que jamais.
Comment vendre un bien immobilier dans une zone polluée et à risque La pollution des sols peut avoir un impact significatif sur la valeur des biens immobiliers. Les terrains contaminés sont souvent moins attractifs pour les acheteurs, ce qui peut entraîner une diminution de la demande et, par conséquent, une baisse de prix.
Durée de validité d'un ERP pour la vente immobilière Pour approfondir la compréhension des diagnostics immobiliers et leur impact sur le marché, examinons comment ces évaluations influencent les décisions d'achat et de location. Les acheteurs et locataires potentiels accordent une attention particulière aux diagnostics pour évaluer la qualité et la sécurité d'un bien.
Les biens immobiliers concernés par l'ERP : ce que vous devez savoir Dans le monde de l'immobilier, le diagnostic ERP (État des Risques et Pollutions) joue un rôle déterminant pour assurer la transparence et la sécurité des transactions. Ce diagnostic, souvent méconnu, est pourtant incontournable pour les propriétaires, les agents immobiliers, et les futurs acquéreurs ou locataires.
Pollution du sol et ventes immobilières Pollution des sols et transactions immobilières, un duo complexe aux lourdes conséquences économiques.
L'État des risques devient un argument de vente ou de location d'un bien immobilier Les obligations légales enrichissent l’Etat des risques et pollutions (ERP). A tel point que les vendeurs, les notaires et agents immobiliers s’en servent dès la mise en vente.
Comment être bien accompagné pour les ERP / ENSA ? Pour réaliser rapidement des diagnostics ERP / ENSA qualitatifs, il est important de s’entourer de professionnels. Comment choisir un partenaire de confiance ?
Le métier de diagnostiqueur immobilier & leurs enjeux Le métier de diagnostiqueur immobilier connaît de nouveaux enjeux de taille. Quels sont ces enjeux ?
L’histoire des grandes organisations de diagnostiqueurs Le métier de diagnostiqueur immobilier est en quête d’une structure qui puisse mieux le représenter. Quelles sont ces structures et leurs ambitions ?
La recherche d’une union des diagnostiqueurs immobiliers : entre rapprochements et divergences Les représentants des diagnostiqueurs immobiliers ont la volonté de s’unifier. Toutefois, ces rapprochements révèlent des divergences.
Les nouveaux enjeux du diagnostiqueur immobilier : l’éthique au coeur du débat Éthique, transparence et fiabilité : des enjeux clés pour les diagnostiqueurs. Un atout décisif pour sécuriser transactions et actes notariés.
Promesse de vente : l’oubli d’un état des risques peut tout compromettre Un oubli ou une erreur d’ERP dans une promesse de vente peut entraîner l’annulation de la transaction.
Radon : mesurer et réduire les risques pour la santé Le radon, gaz invisible mais potentiellement dangereux, peut impacter la santé des habitants. Découvrez comment le mesurer et réduire efficacement ses risques.
Radon : mesurer, comprendre et agir pour prévenir les risques Le radon, gaz naturel mais potentiellement nocif, peut menacer la qualité de l’air intérieur. Apprenez à le mesurer, le comprendre et agir pour réduire les risques.